Dans un bureau ou le travail se fait ennuyeux et écrasant se jouent des échanges étranges, mêlés de compassion, de jeu et de désir. Hugo et marc qui travaille ici depuis deux mois pour le premier et un an pour le second sont mis en binôme sur des projet sans saveur ni intérêt. Mais de tous les métier qu'ils peuvent exercer, celui qu'ils ont choisit n'est pas des plus fatiguant et leur laisse de long moment de répit pendant lesquels ils s'entretiennent de sujets divers . Ainsi, se parlant chaque jour des choses les plus hétéroclite, de l'économie au dernier disque d'un artiste sans renom, ils apprennent à se connaître comme tout le monde, au point que leur relation devient amical. Leur travail lui même finit par nécessiter qu'ils se rencontre en dehors du bureau, ce qu'ils finissent par faire non sans plaisir. Un samedi où ils devaient l'un et l'autres se voir, pour mettre au point un de leur projet, se produisit des choses éloignées de ce sujet. Ayant décidés de déjeuner le midi, afin d'avoir le temps de discuter plus avant de leurs propositions, ils s'étaient mis d'accord pour se rencontrer chez Hugo qui possède un appartement petit mais pratique. Vivant seul, ils ne seraient ennuyés par personne. Marc avait accepté, et adresse prise, s'était rendu au rendez vous. Marc vivait seul également. Arrivé chez Hugo, Marc en avance avait pris celui ci de vitesse, Hugo le recevant en peignoir de bain, à peine sortit de sa douche. Marc s'excuse alors.

"Je suis désolé, je suis en avance, je suis parti plus tôt craignant de ne pas trouver."

Pas de problème mon grand, répondit Hugo presque gêné et content tout à la fois de cette arrivée, alors qu'il ne porte rien qu'un vêtement léger à peine noué. Son regard traduit cette gêne, ce que marc discerne et provoque à son tour chez lui une sorte de gêne équivalente, ce qui les poussent tous deux à baisser les yeux.
Installe toi, fait comme chez toi dis Hugo, j'arrive.
Marc prend ses aises, et s'assoit dans le canapé écru qui trône dans le salon simplement décoré de quelques gravures, d'une lampe façon chine et d'un buffet bas année soixante dix. C'est sobre chez toi fait il remarquer à Hugo. Celui revient vite vers son ami, et lui répond qu'il aime les choses simples et vraies, ce à quoi Marc ajoute qu'il est lui même porté vers ce dépouillement. Les deux passent alors la journée à converser de choses et d'autres, de leur obligations de travail puis bien vite, de tout autre sujet. Marc est intrigué par la vie en solitaire d'Hugo, et Hugo tout autant par celle de Marc. Mais n'osant ni l'un ni l'autre se poser la question, celle ci reste en suspend dans leurs esprits. Vient l'heure du déjeuner. Un repas simple, de salade, de poulet et de glace coupe la journée et anime leur début d'après midi auxquels ils ne savent pas à quoi se consacrer.
Nous avons tellement avancés ce matin, dit Marc, que le boulot est terminé. Hugo lui propose alors de faire un petit jeu. Marc accepte avec plaisir. Ce jeu consiste en des questions de toutes sortes, et au bout d'un certain nombre d'erreur on a droit à un gage décidé par l'autre. Marc relève le pari. S'installant autour du plateau de jeu, leur mains se frôlent tandis qu'ils mettent en placent les pièces. Leurs regard se croisent comme à l'arrivé de Marc, et une appréhension mélangée d'excitation les gagne tous deux sans pour autant qu'il se produise quoique ce soi. Le jeu commence, les question et les réponses se suivent rapidement, et à ce jeu Marc est le plus fort, Hugo finissant par avoir un gage. Marc reste alors quelques instants pensif, puis pose une question à laquelle Hugo est obligée de répondre.
"Pourquoi vis tu seul, demande Marc"
Hugo ne semble pas très à l'aise, mais sommé de répondre il s'exécute . Je n'ai pas trouvé la bonne personne dit il en regardant marc avec un air triste et une certaine retenue. Marc reçoit la réponse sans être très persuadé qu'elle est la véritable raison, mais soit, puisque telle est sa réponse. Vient le tour de Hugo de donner un gage à marc. Hugo demande alors à son ami pourquoi lui même vit seul. La question presque perfide, ne l'est pas en réalité, chacun s'interrogeant sur l'autre, parce que, quoique se connaissant, ils en savent assez peu sur la vie privé de chacun. Marc répond à Hugo, que lui non plus n'a pas trouvé la bonne personne. Hugo reçoit à son tour la réponse avec recul, voyant que l'un et l'autre ne s'avouent pas la vérité. Hugo, regarde alors marc avec une certaine stupeur, et lui dit d'un trait franc et sincère "je suis attiré par les hommes". Rougissant devant son ami, marc, plante son regard étonné et tendre sur celui qui vient de lui révéler une chose que nul ne soupçonnait jusqu'alors. Est ce que tu m'en veux, demande Hugo. Pourquoi t'en voudrais je idiot répond marc sensible et désarmé face à cette révélation . Hugo reprend, "tu n'as pas peur de moi maintenant que je t'ai dis que j'aimais les garçons?"
Marc rougit instinctivement en comprenant ce que sous entend cette phrase, et regardant Hugo droit dans les yeux, lui murmure alors "Pourquoi aurais je peur d'un garçon si doux et si gentil que toi" . Leurs mains se frôlent à nouveau, comme pour se réconforter de n'avoir pas su se dire quelque chose de simple et d'évident que leur relation cache désormais mal. Hugo Serrant les doigts de son ami, lui dit simplement, "et toi".
Marc n'attendait que cet instant, et sans lâcher sa main, lui susurre "moi je n'aime pas les garçons, c'est toi que j'aime". A cet instant, les regards enflammés des deux jeunes Hommes ,s'appelant violemment, les conduit à s'approcher l'un de l'autre, et dans une étreinte forte et charnelle, s'embrasse langoureusement, passionnément , sans reprendre leur souffle, jusqu'à se trouver totalement uni, Hugo allongé sur marc, qui l'enlace furieusement dans ses bas, sans plus de retenue.

Les baisers qu'ils se donnent sont fougueux , ardents et sans mesure, aucun mot ne pouvant plus s'échapper d'eux, seul leur respiration hante le salon et magnifie l'espace. Commençant à se dévêtir, ils en viennent vite à se trouver nues, se couvrant le corps de caresses et de baisers aussi délicats que sensuels. Leurs mains attirées instinctivement par leurs sexes en érections et leurs fesses douces et chaudes, chacun fait sentir à l'autre le besoin irrépressible de se connaître encore plus profondément. Marc prend alors l'initiative d'aller entre les cuisses de son ami, et sans ménagement avale en un mouvement la verge presque totalement raide de Hugo, et commence à la sucer avec toute la fougue d'un amoureux qui craint de n'avoir pas le temps de donner à son bien aimé tout le plaisir auquel il veut se consacrer. Hugo, glissant ses mains sur la tête de Marc, caresse celui ci, et la maintient entre ses jambes, murmurant des sons inaudibles pour qui n'est pas assez près.
Entièrement dédiés l'un à l'autre, délivrés de leur peur réciproque d'avouer une attirance qui jamais n'avait été plus forte, ils s'étreignaient désormais avec la violence et la passion qu'engendre l'attente . Léchant le ventre de Hugo, marc continue son exploration des parties intimes et charnues en glissant sa mains sur le corps moite, chaud de son amant. Prenant ses couilles dans sa bouche, il laisse fondre celles ci, pour le plus grand bonheur de Hugo qui ne peut que laisser faire cet amoureux divin. Le tirant légèrement par les cheveux pour le faire revenir à sa bouche, Hugo prend marc et l'embrasse à nouveau avec vitalité , plantant sa langue au plus profond de sa gorge, lui faisant faire une danse endiablée et mystérieuse avec celle de marc, tandis que de sa main libre il branle doucement la verge du jeune suceur. Le léchant à son tour, avec délicatesse, Hugo montre qu'il n'est pas en reste de désir envers son partenaire, mais marc lui semble préférer être le passif qui donne le plaisir, celui que l'on pénètre, que l'on prend, ce à quoi Hugo ne semble pas hostile.
Après quelques longues minutes de découvertes extérieures, Hugo gémissant de plaisir, marc voit que la verge raidie et le gland vitrifié laissant s'écouler son présperme, Hugo est prêt à pénétrer sa douce et délicate paire de fesses qui n'attend que ça. Marc se redressant vers la bouche de son amant, lèche son bas ventre puis tout son corps jusqu'aux lèvres, avant de lui dire, "encule moi", avec un ton délicat et volontaire. Hugo sentant son besoin de dominer magnifier par la douce soumission de son prince, l'embrasse puis dans geste parfait, le retourne l'agenouille et l'empoigne. Libérant un peu de salive sur l'anus de marc encore vierge, Hugo le prépare à cette pénétration . Libérant aussi du présperme abondant tant la fellation de marc fut parfaite, Hugo commence à glisser son gland contre l'orifice, sans forcer l'entrée, allant et venant de haut en bas, appuyant un peu plus , puis reculant, dilatant la paroi avec un doigt, jusqu'au moment ou les fesses détendues marc est totalement prêt à recevoir son amant. La verge rentrant dans l'anus, marc gémit légèrement, tandis que Hugo continue son exploration respectueuse mais décidée. Il parvient enfin à mettre complètement son sexe dans les fesses de son page, et se met à aller et venir avec lenteur, pour permettre à l'orifice anal de bien s'écarter sous la poussée.
Marc s'abandonnant définitivement à son partenaire, cesse ses dernières contractions de résistance naturelle, due à la pénétration. Hugo le sodomise avec tout l'amour qui lui porte, et tout l'émotion qu'il avait enfoui au fond de lui, et qu'il libérait le soir dans son lit en pensant à ce que maintenant il faisait pour leur plaisir à tous deux. La sodomie profonde et virile que Hugo fait subir à marc rend celui ci fou de bonheur. Sa queue raide pend entre ses jambes légèrement écartées. Hugo le serre aux hanches, puis finit par donner de petites claques sur ses jolies fesses offertes et douce. Marc se redresse alors, et le regardant droit dans les yeux, avec l'air soumis et abandonné lui dit" encore, frappe mes fesses". Hugo recommence ses claques sur le haut de la croupe et les cuisses, sans que marc n'oppose aucune résistance. Pris comme une petite salope chaude et perverse, il ne sait pas dire mieux que "encore, oui", et pousse des gémissements qui accroisse si c'est possibe le l'excitation et la raideur de Hugo.
Au bout de plusieurs minutes, Hugo sort son sexe des fesses de son amour, et réalise que celui ci est légèrement sali. Marc voit ce dont il est responsable, et dans un excès de désir, demande à Hugo de le punir pour avoir ainsi osé porté atteinte à la pureté de ce trophée viril et sublime. Hugo tout aussi épris de son merveilleux compagnon, attrape ce dernier par les cheveux et le conduit dans la salle de bain, ou il le somme de rendre à sa queue lourde et brûlante la propreté immaculée qui la rendait si désirable. Marc s'exécute aussitôt, puis dans un mouvement de contentement, suce langoureusement le mâle attribut pour se faire pardonner. Hugo relève son ami et le gifle doucement en punition bien mérité. Marc se laissant totalement faire, baissant les yeux, acquiesçant par absence de réaction, Hugo recommence plus fort. Ramenant marc entre ses cuisses, sentant qu'il est prêt à éjaculer, Hugo branle son sexe à l'abord des lèvres et des joues rougies par les gifles, et lui demande d'ouvrir la bouche . Un instant s'écoule pendant lequel marc regarde son partenaire, puis obtempère, et ouvrant la bouche en grand, s'apprête à recevoir ce qu'il sait être la sève nourrissante de son maître. Hugo, au comble de son envie, éjacule soudain dans la gorge de son bien aimé, qui reçoit goulûment et avec délectation ce liquide blanc chaud et collant. Quelques secondes d'un bonheur parfait se produisent pour l'un et l'autre. La langue de marc baignant dans ce divin breuvage, Hugo lui ordonne d'avaler, et marc dans un dernier mouvement d'amour avale complètement cet aliment naturel et nourrissant qui deviendra bien vite son dessert préféré.