Voila, je me rendais dans le sud de la France en stop pour économiser les frais de voyage de mes vacances. j'allais rejoindre des amis et j'étais seul. A vrai dire, secrètement, j'espérais qu'il se passe quelque chose, car j'étais attiré par les hommes virils qui savent ce qu'ils veulent. Je me trouvais sur une aire d'autoroute où une voiture m'avait déposé. Le soleil tapait avec mon sac à dos je ne partais qu'un petit short en satin et un T shirt. Je suis blond yeux bleux imberbe la peau lisse avec un visage assez angélique même si parfois les pensées ne sont pas toujours aussi innocentes. Mon short me moulait bien mon beau petit cul et je remarquais par les regards que cela ne laissait pas toujours indiférrent et en fait ça m'exitait assez.
J'étais sur l'aire de repos depuis 10 minutes, quand un camion s'est arrêté avec 2 routiers qui partaient en Espagne. Je monte dans le camion et cela sentait la transpiration les odeurs étaient assez fortes. C'étaient 2 hommes de Bruxelles qui étaient assez virils de vrais hommes quoi. Il y avait un brun et un blond entre 35 et 40 ans. Le blond était torse nu et portait un short. Il avait le torse couvert de poil (j'adore) et une bosse impressionnante au niveau de l'entre jambe du short. Lautre était type italien les cheveux très noirs et portait un t shirt avec un jean un peu crade. Bien qu'ils m'excitassent, je n'osais pas trop les regarder de peur d'être demasqué dans mes pensées vicieuses.
Le blond conduisait et le brun décida d'aller sur la couchette pour se reposer. Je me trouvais donc avec le blond qui conduisait torse nu. Nous parlions de choses et d'autres et le routier se passait sa grosse main sur le torse poilu, moi j'étais à côté avec mon petit short moulant avec mes belles jambes et cuisses imberbes. Nous continuions à parler et il se gratta discrètement les couilles. moi voir un mec se toucher la bite ça me fait accélérer le pouls. Bref j'essayais de me contenir mais il me faisait vraiment envie malgré l'odeur un peu forte qui régnais. Je pense que le blond a dû remarquer que cela me faisait de l'effet. il a remonté s'est recaressé le torse puis a crrément plongé sa main dans son short pour replacer sa bite. Moi j'avalais ma salive et je commençais à bander. Ensuite à travers son short il se caressait la queue qui était très épaisse. Moi j'avais de plus en plus de mal à cacher mon intérêt. Deviner cette grosse queue à travers le short me rendait fou. IL se passa la langue sur les lèvres et me regarda dans les yeux toujours en se tripotant. Moi je rougis mais je n'en pouvais plus: il me dit : - on dirait que tu aimes la bite, toi ! Tu la voudrais dans ta bouche, tu voudrais te faire défoncer la bouche. Et tu m'as l'air d'avoir un beau petit cul de salope.Tu as de la chance que je conduis.
puis tout à coup, il se mit à appeler son pote. Mario, Mario, vient ici, on est tombé sur une salope. Lève-toi on va se vider, putain j'ai les couilles pleines.

Moi j'étais paralysé, j'avais envie certes, mais c'était un peu direct. mario se leva et vint à côté de moi. Il me mit sa main sur une cuisse et me tritura. Montre-moi ton cul, je veux le voir dit le blond. Je me levai un peu me tournai et leur montrai. Putain Mario, Ca va être bon moi j'ai les couilles pleines. Mario me touchait caressait le cul puuis souda in m'affligea une énorme claque sur mes fesses. Il me prit la tête par les cheveux et me roula un patin bien baveux. Il me fit couler sa salive dans la bouche. Il s'assit sur le rebord de la couchette et sortit sa queues épaisse

-Suce maintenant, c'est ce que tu veux salope.
-Ouais Mario vas-y défonce lui la bouche.
Je m'execuatis de me mis a sucer mais je n'arrivais pas à lenfoncer à fond.
Il alait et venait dans ma bouche et je pensais m'étouffer à chaque fois.

Le blond arrêta le camion pendant ce temps dans un endroit désert . Il me prit le cul et m'enfonça un doigt et ma mit une claque sur les fesses.

Mario s'agitait de plus en plus dans ma bouche et me tenait fermenent la tête, je ne pouvais plus bouger. Je sentais un deuxième doigt ma fouiller en même temps. Mario s'agita de plus en plus sa respiration s'accélérait. Sa queue se durcissait dans ma bouche. Soudain il cracha son sperme gluant dans mon gosier en disant vas-y avale sac à foutre espèce de salope !
Moi je m'étouffais et toussais j'avais du foutre partout dans la bouche sur le visage. je m'aperçus que j'aimais ça. je me mis a lécher les dernières gouttes qui perlaient sur son gland.

Suite bientôt