Grandes vacances. Je venais d'avoir 18 ans. Aprés une semaine de randonnée, je décidais de rentrer chez moi en stop en fin d'aprés midi un vendredi. Aprés un premier trajet vite conclu, me voila à 19h coincé dans un petit patelin de campagne, juste à la sortie du village.
Désespérant de trouver un automobiliste sympathique, je profitais des derniers rayons de soleil, en short et tee-shirt, allongé au bord de la départementale.

Vers 21 heure, la nuit commencait à tomber et je demandais vraiment si je n'allais pas rester comme un idiot au bord de ma route quand une voiture s'avanca doucement vers moi.

Par la fenètre, un homme relativement agé me demanda ou j'allais. Je lui donnais ma destination et il me dit de monter.

hop, je ne me le fit pas répéter deux fois et me voila avec mon sac a dos dans sa vieille gimbarde. Quelques kilomètres plus loin, il me dit qu'il allait dans une autre direction et ne pourrais m'emmener à destination. Aie! fort décu, je lui dit de me poser au mieux sur la route et que j'allais probablement passer la nuit à la belle étoile!.

"... Mais si vous voulez, venez chez moi et je vous rammenerai demain matin sur la route, vous aurez plus de chance de trouver quelqu'un...." me dit t'il.

Fatigué, je me suis dit qu'aprés tout, c'étais une bonne idée, plutot que de me geler toute la nuit!

Et nous voila partit chez lui, une vieille ferme amménagée au fin fond de la campagne. Sitôt arrivé, il me dit de prendre la chambre de son fils, qui servait de chambre d'amis. Il me proposa aussi d'utiliser sa salle de bain. Effectivement, aprés une semaine de marche, ce n'était pas de refus!!!

Sitot dit, sitot fait, me voila allongé dans 30 cm d'eau chaude et mousseuse à souhait.

Savourant ces instants de plaisir, j'entend frapper à la porte et je vois mon cher monsieur me demander si il pouvait entrer pour se laver. Bien qu'un peu géné, je lui répondit que oui, il pouvait.

Sans ce soucier de ma présence, il se lava les dents, les mains, puis se désabilla. Tout en se coiffant, il se retourna pour me parler, et la, mon regard fut irrésistiblement attiré par son sexe, d'une longueur largement supérieure au mien.
Horriblement géné, j'essayais de bredouiller quelques mots en réponse à sa question, tout en cherchant à camoufler une érection que je n'arrivais pas à controler.

Avec un sourire, il mit un peignoir et sortit, tout en m'invitant à venir prendre l'apéritif. Négligeamment, il me laissa un peignoir en me proposant de le mettre, pensant à juste titre que je n'avais pas de vètements de rechange.

Je sortis rapidement du bain, mis le peignoir, tout en me demandant si j'allais bien, car il n'est pas dans mes habitudes d'être exité par un homme!

Je pris place sur le canapé, dans un superbe salon avec cheminée, belles poutres et pierres apparentes. Il me demanda ce que je voulais. Un porto. Ouf! la dose était corsé mais aprés avoir vécu à la dur, c'était agréable. tout en discutant allégrement de choses et d'autre, il me resservait une méga dose et mon verre ne voulait pas se vider!!!

L'alcool enlève toute inhibition, c'est bien connu!
En me resservant, sa main frola mon genou et je ne m'en rendit presque pas compte. Au contraire, pour attraper le verre, j'écartais légèrement mes
jambes. A partir de la, tout bascula.

Sa main se reposa sur mon genou, et délicatement remonta vers mon entrejambe. Au lieu de réagir, de le repousser, je ne sais pas ce qui m'a pris, mais je me laissais aller en arrière sur le canapé, écartant encore plus les jambes.

Sa main parcouru tout mon bas ventre, éfleura mon sexe qui était déja en érection. Ses caresses étaient sublimes, et je fermais les yeux pour mieux les apprécier.

Sa main avait changée de position et venais maintenant caresser mon anus, ce qui me faisait pousser de petit gemissements. C'était la première fois que je recevais ce type de caresse, et c'était extraordinaire. Aprés quelques instants, il me dit "bouge pas, ferme les yeux, je reviens". Quelques secondes plus tard, je sentis un doigt humide rentrer doucement dans mon anus. Il le faisait avec délicatesse, me tirant à chaque mouvement un soupir de plaisir.

De plus en plus allongé sur le canapé, mes jambes était maintenant complètement écarté, sans aucune pudeur, ni retenue. Je sentis quelque chose de plus gros qui s'introduisait en moi, trés lentement. ouvrant les yeux, je le vis me pénétrer avec un petit gode, s'enfonçant et se retirant régulièrement.

J'étais au bord de l'éjaculation. Il le vit et ota son peignoir. Son sexe, déja impressionnant dans la salle de bain l'était maintenant encore plus. Il s'allongea à coté de moi, en sens inverse, mettant ainsi son sexe à quelques centimètres de ma bouche. Pris par l'excitation, toujours pénétré par son gode, qu'il enfoncait maintenant à fond, je pris le bout de son sexe dans ma bouche et le lechait, avec la maladresse du néophyte. Je sentis son sexe grossir dans ma bouche, et cela me procura une exitation encore plus forte. Il était maintenant raide et pris par un désir violent, je lui dit de me prendre, de mettre son sexe au fond de mon anus.

Il se releva, se mis à genou, et m'attira vers lui. "Met toi assit sur le bord du canapé, avec les fesses qui depassent" me dit t'il. "Comme ca tu me verra te pénétrer". Semi assis, les jambes sur ses épaules, je le vis approcher son sexe de mon anus, le placer et commencer à l'introduire. Au plaisir des yeux se substitua cette étrange sensation, d'être rempli peu à peu par un sexe chaud et gros, qui malgré mon appréhension
s'enfoncait sans problême, tellement la préparation avait été bien faite.

Aprés quelques minutes d'une lente introduction, il était complètement en moi. En serrant les fesses, je le sentais sur toute sa longueur. Il
se mit à faire des va et vient d'abord lentement, puis de plus en plus rapidement et de plus en plus amples.

Les sensations que cela me procurait, combiné à l'excitation de voir son sexe rentrer et sortir de moi me rendais absolument fou. Avec
mes mains, je lui caressais les fesses, les testicules. Il commenca à gémir, puis il s'enfonca en moi complètement avec un grognement
et je sentis un flux chaud au fond de mon ventre, suivi d'un autre, et encore d'un autre. Il se vidait en moi et cette sensation me fit éjaculer immédiatement avec un cri de fauve.

Aprés quelques instants à savourer ce plaisir, il se retira délicatement, et une grosse partie de son sperme s'écoula de mon anus, encore largement ouvert.

Ecroulé sur le canapé, je regardais ce liquide se répandre sur mes fesses, et repensais au plaisir que je venais de prendre.

Nous primes ensuite un nouvel apéritif (bien mérité!) suivi d'un bon repas.
Après le repas, au digestif, il m'avoua avoir été extrèmement exité par mon petit cul, aux fesses biens rebondies et presque sans poil. Je
lui dit que c'étais pour moi la première fois, et que j'y avais pris du plaisir.

Que n'ai-je pas dit la!
Me laissant seul quelques instants, je l'entendis prendre son téléphone et discuter avec je ne sais trop qui. Pendant ce temps, je cherchais un
mouchoir pour essuyer les dernières gouttes de sperme qui s'écoulaient.

Si j'ai le courage, je vous raconterais la suite de cette nuit, qui a été ma première et unique expérience homosexuelle.