Bonjour, je m'appelle Mickaël, j'ai 29 ans et je suis stewart. Chatain, les yeux marrons, je mesure 1m78 pour 74kg et je suis plutôt musclé. Je suis asez content de mon corps en fait. Je suis marié, et bisexuel, et j'entretiens de temps à autre des relations bi avec ou sans la complicité de ma femme. Je vais vous raconter comment j'ai vécu ma première soirée avec l'homme le plus fabuleux que j'ai jamais connu.

J'ai rencontré Bertrand lors de l'achat de ma voiture, il travaille comme responsable dans la concession où je suis client. Avec ma femme, nous avions apprécié son sérieux, mais j'ai très vite constaté que cet homme me faisait beaucoup d'effet. Ma femme, hôtesse de l'air, était en déplacement et je décidais de me rendre en concession pour un pretexte bidon, afin de revoir mon beau vendeur. Car il est beau, c'est un fait. Mesurant 1m75, il est "taillé en V", les cheveux bruns et très courts, avec des yeux verts irresistibles. J'ai très vite remarqué ses muscles sous sa chemise, et cette vision a servi mes premiers fantasmes. J'avais aussi vu son alliance, mais bon, l'homme étant sympathique, visiblement à l'aise avec moi, je me décide à le connaître davantage.

Me voyant arriver, son visage s'est fendu d'un beau sourire, et il me proposa un café. Discutant de la date de livraison de ma voiture, notre conversation a ensuite dériver sur nos vies respectives, et après une heure de conversation, il me fit coprendre qu'il avait un rendez-vous à assurer. Avant de partir, je pris mon courage à deux mains, et lui demandait s'il souhaitais échanger un verre après la fermeture. Il accepta, précisant que sa femme était absente une partie de la semaine, et qu'il n'avait donc pas de contrainte horaire. J'étais aux anges.

Vers 20h, je me rendais au bar dans lequel nous devions nous retrouver. Je n'ai pas attendu longtemps avant de le voir arriver. Il était vêtu d'un pantalon en toile blanc assez serré, d'un t-shirt noir moulant et d'un blouson en cuir. Bref, il était magnifique. On a commencé à discuter autour d'un verre, et je me suis fait plus entreprenant, multipliant les sous-entendu. Au bout d'une demi-heure, il m'a proposé de passer la soirée chez lui, ce que j'ai bien entendu accepté ! Je l'ai déshabillé du regard sur le trajet nous amenant chez lui, une belle maison au milieu d'un bois. J'avais l'impression que nous étions seuls au monde. A peine entrés chez lui, je pose ma veste sur un porte-manteau, et je me retrouve face à lui en retournant. Je n'ai pas le temps de réagir qu'il m'embrasse, un baiser ferme, viril et divin. Ses mains parcourent mon dos pour effleurer mes fesses. Il me dit "moi aussi, j'en avais très envie". Je vais sur son canapé, et il me propose un nouveau verre. J'accepte, et il va dans la cuisine. Je suis excité grave, et, étant actif, je décide de prendre les choses en main.

Je le rejoins et l'embrasse. Je le plaque contre le mur tout en caressant son sexe à travers son pantalon. Je le sens alors qui bande bien fort, ce qui me motive à aller plus loin. Je lui retire son t-shirt, decouvrant son torse musclé, et un magnifique tatouage sur son épaule. Un trybal, qui empiète sur son biceps, son dos et son torse. Je l'embrasse, lui lèche les têtons puis lui mordille, ce qui le fait gémir. J'ouvre alors son pantalon, laissant aparaître un sexe plein de vigueur. Mon homme est bien monté, et je ne résiste pas longtemps au plaisir de l'engloutir. Je le suce et il se laisse faire, fermant les yeux et gémissant. Le contact de son sexe et des ses bourses rasés dans ma bouche me procure un grand plaisir. Je bande comme un fou, prenant un plaisir incroyable à dominer cet homme si viril, si musclé, et que chacun de mes coups de langue rend fou. En le débarssant de son pantalon et de son boxer, je découvre un autre tatouage, un trybal (encore) lui enserrant la totalité de sa cuisse gauche, remontant jusqu'à la base de son cul superbe.

Dès lors, il se retira de ma bouche, et me demanda de m'assoir sur le plan de travail. Il enleva mon polo et mon jean, et commença à me branler touten me lèchant les couilles. Bertrand sait y faire, et je perd le contrôle dès qu'il avale ma queue. Il me pompe énergiquement, me laissant peu de répit. Je pose alors ma main sur sa tête, pour lui baiser la bouche. Je l'entend gémir en me suçant, ce qui m'oblige à l'arrêter pour ne pas jouir. Je descend de la table, et le retourne contre le mur. Il écarte naturellement les jambes, de manière à laisser courir ma langue sur son petit trou.Je le sens frémir, gémir, au fur et à mesure que je le lèche. Au bout de quelques instants, il se retourne pour m'enfiler un préservatif, et en profite pour me sucer à nouveau. C'est alors qu'il se relève, me tendant son trou offert. Je me présente à lui progressivement, quand il donne un coup de rein vif et me voilà entièrement en lui. Voyant son excitation, je le saisis par les hanches et commence mon va et vient très actif. Il aime ça, et me supplie de continuer, d'y aller plus fort. Je m'éxécute, le limant de plus belle. Je le vois en train d'essayer de se branler, mais il ne peut s'empêcher de maintenir ses mains contre le mur. Au bout de quelques minutes, je me plaque contre lui afin de ne pas jouir tout de suite. Il m'entraîne alors sur so canapé, s'allonge sur le dos, et relève les jambes pour m'offrir à nouveau son cul "je veux te voir jouir" me dit-il. Je le baise à nouveau, ses gémissements se font de plus en plus entendre. Pendant que je le défonce, il me regarde dans les yeux, me répétant qu'il veux me voir jouir, et me disant "vas-y, défonce-moi plus fort". Je ne tiens pas longtemps avant de cèder, ce qui lui procure un grand plaisir, car dans les secondes qui suivir la fin de mon va et vient, sa queue libéra également sa semence, qui arrosa son torse musclé.

Il m'attira alors dans sa chambre, où nous nous sommes installer sur son lit, nus, immobiles pendant plusieurs minutes. Au moment où je commençais à m'assoupir, je senti sa bouche auprès de ma queue. Il me suça un peu, avant que nous nous caressions tendrement. Je lui dit "j'ai rarement jouis comme ça". "Je ne compte pas te lâcher, on va remettre ça souvent j'espère" me répondait-il. J'étais aux anges.

Après avoir bu un verre, il me racompagna chez moi. Nous sommes resté autour de sa voiture pendant près d'une heure, à discuter sous mes fenêtres. Au moment de s'embrasser pour se dire au revoir, je le sentais insistant, me caresser vivement. Il dégraffa mon jean, et sorti ma queue pour l'engloutir. Il me tailla une pipe énergique, qui n'a pas mis longtemps à me jouir. A ce moment, il a avalé ma queue et tout ce qu'elle contenait. Dès lors il me dit "je vais te montrer le plaisir qu'on peut prendre ensemble". Il me plaqua contre sa voiture, et me lècha l'anus divinement. C'était la première fois que mon petit trou était "découvert", et ça n'était pas fini. Il enfila un préservatif, et présenta sa belle queue contre mon cul. Après l'avoir frottée contre moi, il me pénétra lentement. Je sentais son engin serré dans mon petit cul, mais rapidement, il accèlera sa cadence, me faisant grogné de plaisir. Je me suis senti complètement dominé, incapble de lutter face à un tel impact physique. Ses va et vient soutenus ont duré plusieurs minutes, j'étais stupéfait par son endurance, un vrai contrôle de soi alors que nous étions visibles... Heureusement, l'heure tardive n'incitait pas les passants à la balade. En me baisant, il me claquait les fesses, m'agrippa sans me laisser une possibilité de bouger. Je tirais un plaisir immense de cette baisse mémorable, qui s'est terminée dans un râle commun. Une fois retiré, il prit une dernière fois ma queue en bouche, pour me faire jouir dans sa gorge. Je rentrais chez moi, ravi et épuisé, quand je reçu un texto. "On se revoie quand?"