Cela fait longtemps que je suis attiré par les hommes. C’est une attraction physique, animale, comme une chaleur qui naît au creux du ventre et qui se propage en moi en se concentrant par vagues dans mon anus, en faisant se dresser mon sexe.  J’ai l’impression que mon trou du cul se dilate, se mouille, et appelle le mâle…
Aujourd’hui je vais vous raconter mon dépucelage. Comme ça, par plaisir de partager ce moment que j’attendais depuis si longtemps. J’ai eu trente ans le mois dernier, et jusque là ma vie érotique s’était limitée aux femmes, que j’adore, et à mes désirs de bite bien dure qui me défonce que j’assouvissais tant bien que mal avec de grosses courgettes bien lubrifiées.
Et par une belle nuit de janvier j’ai décidé de sauter le pas, de faire l’amour avec un homme pour de vrai. J’avais acheté quelques semaines auparavant une jolie petite culotte en dentelles que je portais depuis, de temps en temps, sous mes vêtements. J’aime le contraste entre cette dentelle toute féminine et mon gros sexe d’homme, mes fesses et mes jambes poilues. Je me sens différent quand je suis habillé comme ça. Ce soir là, j’ai décidé de na pas cacher ma petite culotte : j’ai mis un pantalon dont la taille descendait suffisamment bas pour qu’on la voie, et j’ai mis un T-shirt court et moulant, acheté spécialement pour l’occasion, qui m’arrivait juste au dessus du nombril. Je me trouvais pas trop mal habillé comme ça. Je suis mince, brun, assez grand mais sans excès, et j’ai une jolie petite chute de reins… Je me sentais troublé en me regardant dans la glace et j’espérai bien en troubler d’autres !...
J’ai enfilé un manteau et je suis sorti dans Paris. J’ai pris la direction du quartier Marais, pensant que c’était sûrement là la meilleure destination. Après une courte hésitation, je suis entré dans un café où la population n’avait pas l’air trop jeune et dont l’ambiance me paraissait sympa.
J’ai enlevé mon manteau, dévoilant mes dentelles, et je me suis installé à une table. Je sentais les regards se poser sur moi, c’était très excitant. Je suis attiré par les hommes mûrs, virils, de 45 ans et plus. J’ai été gâté : cela faisait à peine une demi-heure que j’étais là, bien droit sur ma chaise, à boire mon deuxième café, qu’un homme d’une cinquantaine d’années est venu s’installer à ma table. Il n’était pas spécialement beau, mais il se dégageait de lui une intensité animale. Mon excitation fit se gonfler mon sexe. L’homme me jetais des regards discrets, mais ne semblait pas disposé à m’aborder. Finalement un autre homme un peu plus jeune est entré et a mis fin au charme en s’asseyant à sa table… Dommage. Après une petite heure passée dans ce café sans qu’il se passe grand chose d’autre, je décidai de tenter ma chance ailleurs. L’homme qui m’avait fait frémir discutait toujours avec son ami.
Je n’avais pas fait cent mètres que je sentais quelqu’un se glisser  juste derrière moi. Je me retournai et… je me retrouvais nez à nez avec l’inconnu du café, si près que nous nous touchions presque…
Il s’appelait André. Il m’a emmené chez lui et c’est là qu’il m’a dépucelé, tout en force et en douceur à la fois, comme dans mes phantasmes les plus secrets. Il me déshabilla out en me caressants avec ses grosses mains un peu calleuses, me laissant uniquement ma petite culotte. Il contempla un moment le spectacle de ces longues jambes poilues, de mes fesses ornées de dentelle et de mon sexe qui dépassait allégrement des limites de la culotte. Cela semblait l’exciter énormément. Puis il me conduisit sur son lit, m’enleva ma culotte et se coucha tout contre moi. Ses bras musclés m’entourèrent. Sa bouche trouva la mienne, sa langue me pénétra la première. Je sentais sa grosse queue qui  se pressait sur ma cuisse, sur mon pubis, sur mon sexe… J’étais déjà à deux doigts de l’orgasme, pourtant ça ne faisait que commencer.  Il se mit sur le dos et je me retrouvai couché sur lui. Lentement je descendis le long de son corps, en me caressant, jusqu’à ce que ma bouche rencontre son membre dressé… Je le suçai avec délice… Il s’esquiva soudain, ne voulant pas éjaculer  si tôt et dans cet orifice. Ses mains s’attardèrent sur mes fesses, et délicatement il introduisit un doigt, qu’il remua de façon circulaire. J’étais aux anges … Puis, une fois mon anus suffisamment dilaté, il introduisit un second doigt et recommença à me branler doucement. Jugeant la place prête à subir ses assauts, il se retira et m’indiqua la salle de bain, où je trouvai au bord du lavabo un tube de lubrifiant qui n’attendait que moi. Je me préparai et que je le rejoignis lui aussi était prêt, son membre dressé fièrement, couvert et lubrifié avec soin. C’était le moment que j’avais tant attendu…
Je me mis tout de suite à quatre pattes sur le lit, présentant mon anus ouvert et humide à cet homme au sexe puissant.  Je sentis son gland se présenter tandis que ses mains se posaient sur mes hanches. Il me pénétra lentement, sans forcer, laissant le temps à mon petit trou de s’habituer. Je le sentais progresser en moi. C’était tellement bon… Puis il commença à me défoncer, d’abord lentement, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. J’avais l’impression qu’un incendie de douleur et de plaisir mêlés se répandait en moi. Soudain, dans une dernière poussée jusqu’au plus profond de moi, il jouit en poussant un long râle. J’étais dépucelé….
En fait, je l’avoue, j’ai inventé toute cette histoire, que j’ai d’ailleurs pris un grand plaisir à écrire. J’aimerais être dépucelé comme ça un jour, mais je suis un peu timide et je n’ai pas encore rencontré l’homme suffisamment viril et suffisamment attentionné qui m’aidera à franchir le pas… Un jour peut-être ?....