Aussi loin que je me souvienne il a toujours été là… Philippe est sans aucun doute le meilleur ami de mon père. Ils se connaissent depuis le lycée et n’ont jamais coupé les ponts. Par extension il est donc devenu l’ami de toute la famille.
Je suis attiré par lui depuis 3 ans environ, depuis le jour de mes 15 ans où  le matin même je l’ai croisé alors qu’il venait de se lever, vêtu d’un caleçon et d’un t-shirt. A ma grande surprise cette simple vision m’a provoqué une trique pas possible. Je dois bien avouer que j’ai eu beaucoup de mal à accepter ça et qu’au début je me suis dit que c’était simplement la trique du matin, sans accepter que j’étais vraiment troublé.
Depuis ce matin-là j’ai fait tout mon possible pour éviter de le croiser lorsque est torse nu ou en maillot de bain, jusqu’il y a 2 jours…
  J’ai dû aller chez lui pour la nuit, car je déménageais dans l’appartement où je vais habiter pendant mes études à la fac. Seulement il m’était impossible d’y rester car rien n’était monté, aussi bien le lit que les autres meubles. Enfin j’ai été rassuré lorsque je suis arrivé, car c’est Sophie qui m’a ouvert, la copine de Philippe depuis 6 mois maintenant, elle est infirmière.

- « Christophe! Je suis heureuse que tu viennes passer quelques jours ici! Alors ton installation avance? Pas trop triste de devoir partir de chez toi? Non, bon Philippe est dans la chambre en train de se changer, on t’attendait.
- Vous m’attendiez?
- Oui! On s’est dit que même si on était en hiver, la piscine étant à deux pas il était bête de ne pas en profiter! Surtout qu’on est samedi et donc elle ferme à 22h ce qui nous laisse deux bonnes heures!
- Mais je n’ai pas de maillot de bain… Dis-je pour essayer d’échapper à ma torture.
- Ce n’est pas grave, Philippe en a plusieurs. Tiens, il a sorti ce caleçon pour toi! Va à la salle de bain et porte le sous ton jean.
-Va te changer pendant que je réponds au téléphone. Â»
  Je ne fais pas attention à ce qu’elle dit car je suis omnubilé par le fait qu’il va falloir que je me montre en maillot de bain… Et si j’avais une érection pendant… Enfin, je me rassure en me disant qu’il me suffit de ne pas le regarder trop souvent et puis qu’une fois dans l’eau tout ira bien. Mais lorsque je ressors j’apprend que finalement la journée ne sera peut-être pas si mauvaise que ça.
- « Bonjour! Me lance Philippe en arrivant face à moi. Sophie a due partir, l’hôpital a appelé et elle est de garde pour toute la nuit… Elle ne devrait rentrer que demain vers les midi. Mais bon si tu veux aller à la piscine il n’y a pas de problème!
- Oh ben, sans Sophie ça ne sera pas aussi drôle. Dis-je en sautant sur l’occasion. Et puis, je dois bien dire qu’après une journée à porter des cartons je ne me sens pas trop d’aller nager…
- Tant mieux! Me dit-il avec un soupir de soulagement. Je dois bien te dire que je n’avais pas très envie de bouger ce soir et c‘est Sophie qui a insisté pour que l‘on y aille afin que tu ne restes pas enfermé dans l’appartement toute la journée. Bon alors il ne reste plus qu’à nous changer une fois encore.
- Bon alors je retourne à la salle de bain alors! Est-ce que je peux en profiter pour prendre une douche?
- Bien sûr, fait comme chez toi! Je nous commande une pizza, ça te va?
- C’est parfait! Â» Dis-je en retournant dans la salle de bain. 
 
Il ne me reste plus que mon caleçon de bain lorsque je vais faire couler de l’eau dans la baignoire ce qui fait que je n’entends pas Philippe entrer dans la salle de bain et lorsque je me retourne je ne peux m’empêcher de sursauter et de rougir en le découvrant dans l’encadrement de la porte, une serviette et un gant de toilette aux mains.

- « Tu ne m’avais pas dit que tu faisais de la musculation! Me dit-il en me regardant. Ce qui est vrai, je m’y suis mis depuis 1 an maintenant et le fait d’y aller deux fois par semaine commence à porter ses fruits.
Tu dois faire tourner pas mal de tête avec ces tablettes de chocolat!
Mais il n’y a pas de quoi rougir! Tu as la chance d’être un mec musclé et viril avec ça! Les choses ont bien changé, à ton âge on était bien moins développé avant… Je me rappelle qu’à 18 ans j’étais loin d’avoir atteint ma pilosité définitive… Bon allez, je te laisse prendre ta douche! Â»
 Je ne recommence à respirer qu’une fois qu’il est parti, remerciant dieu d’être enfin seul… En même temps tout ce qu’il vient de me dire ne cesse de tourner dans ma tête. Il m’a dit que j’étais musclé et viril, est-ce que ça veut dire qu’il m’aime comme ça? C’est vrai que même avec quelques muscles je n’ai jamais beaucoup aimé mon corps que j’ai toujours trouvé trop poilu à mon goût… Surtout depuis un an où des poils sont apparus au bas et sur le haut de mon dos… Heureusement qu’ils ne sont pas très nombreux…
  Enfin je finis de prendre ma douche et à mon grand soulagement de toute la soirée je n’ai pas eu droit à la moindre autre réflexion. Enfin je dois dire que je fais tout mon possible pour que chaque blanc dans la conversation soit bouché afin de ne pas lui laisser le temps de revenir à l’épisode de la salle de bain.
  Lorsque je vais me coucher il est pas loin de minuit mais je sais que Philippe ne vas pas dormir car j’entends encore la télé, ma chambre étant juste à côté du salon. Mais soudain je me rends compte que le son a subitement baissé car je n’entends plus que quelques murmures… Enfin plus quelques cris que des murmures et ce à intervalles réguliers. C’est à ce moment là que je me souviens qu’on est pas n’importe quel samedi mais le 1er samedi du mois… Le jour du porno sur canal. Au bout de 30 minutes qui me semblent être une éternité je me décide à aller voir. Je sais que grâce à la glace du buffet placé juste devant la porte du couloir qui mène aux chambres, je peux voir sans être vu.
 Et tout de suite je sais que je ne vais pas regretter de m’être levé. Lorsque je regarde la glace je vois que c’est bien le porno que Philippe regarde, allongé et surtout une main caressant son entrejambe. Je n’attend qu’une chose, qu’il ne puisse plus résister et déboutonne sa braguette pour en sortir l’objet de mes fantasmes. L’attente me parait longue mais en attendant je me contente des hommes présent dans le film mais je suis déçu car moi qui préfère les hommes plutôt viril je ne vois que des hommes bien membrés bien sûr mais aussi imberbe que des bébés… Au bout de 10 longues minutes j’entends Philippe bouger sur le canapé et je le vois écarter ses jambes en les pliant. Il se caresse de plus en plus fort, puis enfin il se décide à ouvrir sa braguette. Je crois que personne n’a déboutonné 5 boutons aussi lentement. J’espère qu’il va baisser son jean jusqu’à ses chevilles mais malheureusement ce n’est pas le cas. Je découvre seulement qu’il porte un slip qui laisse découvrir une bosse très impressionnante qu’il libère dans un petit gémissement qui ne fait que renforcer mon excitation. Mais il s’arrête d’un seul coup en fixant la porte derrière laquelle je me trouve et que j’ai entrebaillé juste assez afin de me permettre de tout observer. Je crois que j’ai cessé de respiré tandis que la sueur perle dans mon dos. Je ne sais pas s’il a deviné que je regardais mais toujours est-il qu’il reprend ou il en était en prenant son membre dressé dans une main tandis qu’il se caresse le gland avec la paume de l’autre. Puis il change de main et je comprend qu’en fait il récupérait sa mouille pour que sa main glisse mieux. Je suis un peu déçu car il n’enlève rien d’autre, sa main droite ne faisant que parcourir la zone touffue du pubis ou le haut de ses cuisses sous son jean. Seuls ses gémissements et la vitesse de va et viens de son bassin m’avertissent de son stade d’excitation. Mais il ne gicle pas, au contraire il s’arrête soudain pour arrêter la télévision et se lever.
  Aussitôt je me précipite dans ma chambre où je me déshabille en 4ème vitesse avant de me mettre au lit tout en faisant attention de laisser la porte assez entrouverte pour que la lumière du couloir éclaire le lit. Et surtout je veux être sûr, ses paroles dans la salle de bain me trottent toujours dans la tête, aussi je fais en sorte pour que le drap ne recouvre pas au moins une moitié de mon corps, laissant apparaître mon corps du dos jusqu’au genou gauche. Je ne sais pas comment j’ai fait mais toujours est-il que lorsqu’il éclaire le couloir, je suis prêt… Je ne sais pas pourquoi mais je suis sûr qu’il va regarder par l’entrebâillement de la porte, et qui sait peut-être aussi rentrer dans la chambre. Et ça ne loupe pas, je le vois s’approcher, ouvrir un peu plus la porte et avant de fermer les yeux pour faire semblant de dormir je vois que sa queue est toujours sortie, un peu moins raide mais pas moins vigoureuse et attirante. Je l’entends s’approcher, il respire vite et s’arrête juste à côté de mon lit… Là sa respiration accélère encore et en entrouvrant un Å“il en vitesse je découvre qu’il se branle avec frénésie en fixant mon cul. Je suis sa branlette en fixant mon attention sur les bruits de frottements de ses mains sur son jean. Et puis soudain je sens sa main se poser sur mes fesses, oh il n’appuie pas, il m’effleure à peine mais comme je suis largement poilu sur cette partie du corps je sens parfaitement ses caresses et je dois dire que tout mon corps est électrisé. Mon excitation arrive à son paroxysme lorsque je sens une goutte de liquide me tomber dessus au même moment où je l’entends pousser un couinement à peine audible. Sa main repasse sur mon cul pour tenter d’essuyer la trace de son passage mais il ne fait que l’étaler. Finalement il renonce et retourne sans un bruit dans sa chambre.
  Je crois que je suis resté une heure comme ça à ne pas bougé, de peur qu’il m’entende et donc devine que j’étais réveillé quand il est venu… Je sens son sperme séché sur moi, tirant sur mes poils… Je crois que je n’ai jamais bandé aussi fort de ma vie, ma queue est encore toute raide, plaquer contre mon bas-ventre sur lequel elle n’arrête pas de baver. Finalement je me décide à me lever, maintenant je sais que je l’excite et ça me suffit pour me donner le courage d’aller jusqu’à sa chambre que j’ouvre en priant pour qu’il n’y ait aucun grincement de gonds, et maintenant je sais que dieu existe… Lorsque je m’approche de lui je me rends compte qu’il n’est malheureusement pas nu, il porte un t-shirt et le drap remonte jusqu’à mi-torse. Sa respiration continue me confirme qu’il dort profondément et tout doucement je monte sur le lit puis me met sur lui… Je respire un grand coup et prenant mon courage à deux mains je me penche et commence à l’embrasser. Sa bouche s’entrouvre et j’en profite pour y glisser ma langue tout en appuyant plus fort ma bouche contre la sienne. Maintenant je sais qu’il est réveillé, sa bouche est bien trop offerte pour qu’il dorme encore et sa respiration s’est beaucoup accélérée je trouve. Il ne faut pas longtemps pour que ma théorie se vérifie car rapidement il me rend mon baiser de même que je sens ses mains caresser mes cuisses, puis mon cul et là je sais qu’il ne me confond pas avec Sophie ou alors c’est qu’elle ne s’épile pas souvent les jambes…
  J’arrête de l’embrasser mais il garde tout de même la bouche ouverte et les yeux fermés tandis que je me réinstalle sur lui et lentement j’approche ma queue de sa bouche et très rapidement lui enfourne dans la bouche. Je sens une surprise chez lui mais il ne réagit pas…
- « J’en peux plus…! Â» Dis-je en haletant. Ce sont les seuls mots que je parviens à dire avant de commencer un va et vient… Je sens ses lèvres s’humidifier tandis que mon sexe glisse de mieux en mieux. Mais je ne peux pas en profiter beaucoup car je n’arrive plus à me retenir et je jouis en lui. Je sens qu’il veut se retirer mais je tiens sa tête entre mes mains, je veux tout lui donner, que mon sperme se mélange à sa salive et même qu’il l’avale. Je crois que je n’ai jamais autant jouis, j’ai clairement senti 6 jets de foutre sortir de moi et emplir sa bouche. Je sais qu’il ne l’a pas avalé car je sens ma queue baigner dedans tandis que je continue mon va et vient de plus en plus lentement avant de me retirer. C’est à ce moment là que je mets en route mon deuxième fantasme, sans lui laisser le temps de se remettre je l’embrasse à nouveau reprenant mon foutre dans sa bouche le mélangeant à ma salive et lui rendant encore et encore jusqu’à ce qu’il n’en sente plus le goût et l’avale.
- « Tu réveilles souvent les gens comme ça… Me dit-il en souriant.
- Et toi, depuis quand tu jouis sur le cul de jeunes mecs innocents… Â» Je lui répond du tac au tac en me mettant sur le côté.
  Mais je n’en ai pas encore assez, je sais que se sera peut-être la seule fois alors je tire le drap d’un grand coup sec, le découvrant entièrement. Puis je commence à lui caresser le torse en me mettant à nouveau accroupis sur lui. J’insiste sur le bas-ventre et la poitrine avant de passer une puis deux mains sous le t-shirt que je lui relève jusqu’au menton. Mes mains m’ont clairement prévu que j’allais trouver une toison telle que je l’ai toujours rêvé. Des poils longs et bouclés, disposés du haut des épaules au bas ventre, et au-delà. J’ai éclairé la lampe de chevet afin de profiter pleinement de la vue qui s’offre à moi et cela suffit pour me remettre une trique d’enfer. Je me couche sur lui pour sentir sa toison contre ma peau qui n’est que partiellement velue au bas ventre et en haut du torse. Puis je me baisse et avec ma langue je fouille sa forêt pour trouver ses tétons que je lèche et mordille pour son plus grand plaisir si j’en crois sa respiration haletante. Puis j’en viens au plus intéressant, je me retourne, lui laissant voir mon cul et mes couilles en espérant qu’il ne va pas tarder à me tailler une pipe, tandis que je baisse son caleçon pour libérer sa queue encore plus raide que tout à l’heure. Une fois que je lui ai tout enlevé je reviens à ses organes et sans attendre je lui prend sa queue dans ma bouche et elle est tellement épaisse que je ne peux avaler à peine que la moitié de sa tige. Il a replié ses jambes, relevant un peu son bassin et je m’applique à lui astiquer le tout bien comme il faut tout en respirant sa délicieuse odeur de mâle… Une odeur musquée qui me rend fou… Je décide de faire un petit effort et je ne sais pas comment je fais pour ne pas m’étrangler mais je parviens à tout prendre dans la bouche, mon nez butant contre ses grosses couilles pendantes et poilues. Je sens son gland profondément dans ma bouche, dans ma gorge et j’aspire profondément en même temps que je retire ma bouche lentement, avalant au passage toute sa mouille au léger goût de sel. Alors je sens qu’à son tour il me suce mais surtout qu’il passe un doigt mouillé autour de ma rosette en appuyant de plus en plus. Pour lui faire comprendre l’invitation je me détend le plus possible tout en écartant encore les jambes afin qu’il devine mon trou. J’ai dû être très explicite car tout de suite je sens majeur s’enfoncer en moi profondément, de tout son long. Puis il commence à le faire tourner en moi, je le sens qui frotte du côté de mon ventre, contre ma prostate et l’effet est immédiat, ma queue gonfle encore comme jamais auparavant dans sa bouche. Mais il s’arrête avant que je ne puisse plus me retenir et commence un va et vient de plus en plus rapide sans sortir son doigt entièrement. Et si au début ça me brûlait un peu, maintenant il me pénètre comme il veut. Je sens qu’il à tourner sa main car maintenant son doigt tape du côté de mon dos. Je sens qu’il va jouir pendant que je le branle en prenant ses couilles dans ma bouche. Aussi je m’arrête et bouge de manière à ce que son doigt sorte de moi. Je sais ce que je veux maintenant…
- « Je veux que tu me prennes… Â» Lui dis-je. Et il n’a pas l’air surpris car il ne fait que sourire en se déplaçant sur le lit, me laissant m’allonger sur le dos. Puis il me lève les deux jambes qu’il place sur ses épaules. Enfin il cesse de me fixer avec son air lubrique et regarde sa queue qu’il prend d’une main afin de la placer face à mon trou. Puis il appuie de plus en plus sur ma rosette qui ne lui offre guère de résistance. Je sens toute les étapes, son gland qui rentre peu à peu en m’écartant de plus en plus, puis ce qui suit est moins gros donc j’en déduis qu’il en est arrivé au bout et que maintenant il s’agit de sa tige, bien que très épaisse l’est tout de même moins que son gland. Il continue de s’enfoncer, j’ai l’impression que ça n’en finira jamais mais je m’en fou, je ne peux détacher mon regard du sien. Il n’arrête pas de me fixer, voulant détecter tout ce que je ressens que se soit douleur ou plaisir. Une fois que je sens au moins la moitié de sa raideur en moi, et que donc s’il bouge il ne risque pas de sortir je prend son visage et l’attire vers moi… Il a l’air de résister, peut-être qu’il a peur de trop me demander en souplesse en se penchant sur moi, mais je ’an pas de problème de ce côté-là, mes plusieurs expériences d’auto-fellation m’ont aidé. J’insiste et alors il se penche totalement de sorte que je sens ma queue et mes couilles s’appuyer sur son ventre. Ses poils se mélangent à mes poils pubiens et appuyer comme il est je sens l’odeur de sa transpiration près de moi, ma tête étant tout proche de son dessous de bras.
e suis comme fou…
- « Je veux que tu me prennes violemment… Je veux que tu me prennes aussi fort que tu le peux… je veux sentir chaque coup de boutoir contre mon ventre… Â»
Et il ne lui en faut pas plus… Dans un rugissement il commence alors à aller et venir très fortement, me faisant crier de douleur… Je lui demande même de s’arrêter mais comment arrêter un mâle en rut lorsqu’il est lancé. Mais de toute façon je ne le subis pas très longtemps car la douleur s’efface pour ne laisser que le plaisir de sentir son burin en moi. Il finit par se redresser afin de pouvoir me pénétrer encore plus en profondeur et avec plus de force offrant à mon visage brûlant, grimaçant et dégoulinant de sueur, la vision de torse d’homme viril… Il prend ma queue fermement dans sa main gauche et coordonne les mouvement de sa branlette à ses va et vient. A chaque fois qu’il me pénètre à fond sa main descend ma hampe, tirant ma peau totalement et dévoilant mon gland gonflé et humide. Puis lorsque se retire partiellement sa main remonte pour que mon prépuce retrouve sa place, et il en profite pour exercer une pression sur mon gland qui à chaque fois me fait croire que je vais jouir. Pour la première fois il se retire totalement, il avance sa queue vers la mienne et tirant la mienne en arrière jusque’ à me faire mal il frotte son gland contre le mien et ce afin de récupérer et d’étaler toute ma mouille. Puis quand il en est totalement recouvert il me pénètre à nouveau violemment, d’un seul coup avec à nouveau un rugissement bestial. Puis il accélère de plus en plus tout en me branlant encore et encore. Je me demande comment il fait pour soutenir le rythme quand je cède, à bout. Mon foutre m’inonde le ventre… Il se penche sur moi et se frotte contre moi tout en bougeant à l’intérieur de moi. Il est à moitié sorti lorsque il me fouille littéralement la bouche avant de revenir totalement… Il pousse un cri étouffé par ma bouche en même temps que je sens sa jouissance se répandre en moi. Puis une fois qu’il s’est soulagé il se tient immobile, tout en continuant de m’embrasser… Je sens son pénis qui reprend peu à peu sa taille normale mais déjà imposante au repos. Au bout de cinq minutes je le sens bouger et je pense qu’il va se retire de moi quand en fait il recommence à aller et venir lentement tandis que sa queue reprend du volume.
- « Maintenant… Me dit il à l’oreille. Je vais te faire l’amour… Et ça va être à ton tour de me faire découvrir les joies de la pénétration. Â»

  On n’a pas arrêté de recommencer  plusieurs fois de suite, alternant violence et tendresse… Mais à chaque fois nous nous sentons plus libre, laissant libre cours à nos pulsions animales, à nos cris et ce quitte à déranger les voisins, sur le lit, la moquette, dans la douche…
  Nous ne nous sommes arrêtés que lorsque le réveil a sonné 10 heures 30... Chacun est allé prendre sa douche sagement et lorsque Sophie est rentré nous avons fait comme si de rien n’était.
  La nuit suivante, je l’ai clairement entendu lui faire l’amour mais je sais qu’il l’a fait en pensant à moi et sans retrouver le même niveau de plaisir. Il me l’a dit tout à l’heure quand il est arrivé à mon appartement en me disant qu’il avait quitté Sophie et après que nous ayons baisés, puis fait l’amour.