PHILIPPE
Par Laurent le mercredi 14 novembre 2012, 11:23 - HISTOIRES GAYS - Lien permanent
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Histoire gay envoyée par Nico69
Aussi loin que je me souvienne il a toujours été là … Philippe est sans aucun doute le meilleur ami de mon père. Ils se connaissent depuis le lycée et n’ont jamais coupé les ponts. Par extension il est donc devenu l’ami de toute la famille ...
Aussi loin que je me souvienne il a toujours été
là … Philippe est sans aucun doute le meilleur ami de mon père. Ils se
connaissent depuis le lycée et n’ont jamais coupé les ponts. Par extension il
est donc devenu l’ami de toute la famille.
Je suis
attiré par lui depuis 3 ans environ, depuis le jour de mes 15 ans où le matin même je l’ai croisé alors qu’il
venait de se lever, vêtu d’un caleçon et d’un t-shirt. A ma grande surprise
cette simple vision m’a provoqué une trique pas possible. Je dois bien avouer
que j’ai eu beaucoup de mal à accepter ça et qu’au début je me suis dit que c’était
simplement la trique du matin, sans accepter que j’étais vraiment troublé.
Depuis ce
matin-là j’ai fait tout mon possible pour éviter de le croiser lorsque est
torse nu ou en maillot de bain, jusqu’il y a 2 jours…
J’ai dû aller chez lui pour la nuit, car je déménageais
dans l’appartement où je vais habiter pendant mes études à la fac. Seulement il
m’était impossible d’y rester car rien n’était monté, aussi bien le lit que les
autres meubles. Enfin j’ai été rassuré lorsque je suis arrivé, car c’est Sophie
qui m’a ouvert, la copine de Philippe depuis 6 mois maintenant, elle est
infirmière.
- « Christophe!
Je suis heureuse que tu viennes passer quelques jours ici! Alors ton
installation avance? Pas trop triste de devoir partir de chez toi? Non, bon
Philippe est dans la chambre en train de se changer, on t’attendait.
- Vous m’attendiez?
- Oui! On s’est
dit que même si on était en hiver, la piscine étant à deux pas il était bête de
ne pas en profiter! Surtout qu’on est samedi et donc elle ferme à 22h ce qui
nous laisse deux bonnes heures!
- Mais je n’ai
pas de maillot de bain… Dis-je pour essayer d’échapper à ma torture.
- Ce n’est
pas grave, Philippe en a plusieurs. Tiens, il a sorti ce caleçon pour toi! Va Ã
la salle de bain et porte le sous ton jean.
-Va te
changer pendant que je réponds au téléphone. »
Je ne fais pas attention à ce qu’elle dit car
je suis omnubilé par le fait qu’il va falloir que je me montre en maillot de
bain… Et si j’avais une érection pendant… Enfin, je me rassure en me disant qu’il
me suffit de ne pas le regarder trop souvent et puis qu’une fois dans l’eau
tout ira bien. Mais lorsque je ressors j’apprend que finalement la journée ne
sera peut-être pas si mauvaise que ça.
- « Bonjour!
Me lance Philippe en arrivant face à moi. Sophie a due partir, l’hôpital a
appelé et elle est de garde pour toute la nuit… Elle ne devrait rentrer que
demain vers les midi. Mais bon si tu veux aller à la piscine il n’y a pas de
problème!
- Oh ben,
sans Sophie ça ne sera pas aussi drôle. Dis-je en sautant sur l’occasion. Et
puis, je dois bien dire qu’après une journée à porter des cartons je ne me sens
pas trop d’aller nager…
- Tant
mieux! Me dit-il avec un soupir de soulagement. Je dois bien te dire que je n’avais
pas très envie de bouger ce soir et c‘est Sophie qui a insisté pour que l‘on y
aille afin que tu ne restes pas enfermé dans l’appartement toute la journée.
Bon alors il ne reste plus qu’à nous changer une fois encore.
- Bon alors
je retourne à la salle de bain alors! Est-ce que je peux en profiter pour
prendre une douche?
- Bien sûr,
fait comme chez toi! Je nous commande une pizza, ça te va?
- C’est
parfait! » Dis-je en retournant dans la salle de bain.
Il ne me reste plus que mon caleçon de bain
lorsque je vais faire couler de l’eau dans la baignoire ce qui fait que je n’entends
pas Philippe entrer dans la salle de bain et lorsque je me retourne je ne peux
m’empêcher de sursauter et de rougir en le découvrant dans l’encadrement de la
porte, une serviette et un gant de toilette aux mains.
- « Tu
ne m’avais pas dit que tu faisais de la musculation! Me dit-il en me regardant.
Ce qui est vrai, je m’y suis mis depuis 1 an maintenant et le fait d’y aller
deux fois par semaine commence à porter ses fruits.
Tu dois
faire tourner pas mal de tête avec ces tablettes de chocolat!
Mais il n’y
a pas de quoi rougir! Tu as la chance d’être un mec musclé et viril avec ça!
Les choses ont bien changé, à ton âge on était bien moins développé avant… Je
me rappelle qu’à 18 ans j’étais loin d’avoir atteint ma pilosité définitive…
Bon allez, je te laisse prendre ta douche! »
Je ne recommence à respirer qu’une fois qu’il
est parti, remerciant dieu d’être enfin seul… En même temps tout ce qu’il vient
de me dire ne cesse de tourner dans ma tête. Il m’a dit que j’étais musclé et
viril, est-ce que ça veut dire qu’il m’aime comme ça? C’est vrai que même avec
quelques muscles je n’ai jamais beaucoup aimé mon corps que j’ai toujours trouvé
trop poilu à mon goût… Surtout depuis un an où des poils sont apparus au bas et
sur le haut de mon dos… Heureusement qu’ils ne sont pas très nombreux…
Enfin je finis de prendre ma douche et à mon
grand soulagement de toute la soirée je n’ai pas eu droit à la moindre autre réflexion.
Enfin je dois dire que je fais tout mon possible pour que chaque blanc dans la
conversation soit bouché afin de ne pas lui laisser le temps de revenir à l’épisode
de la salle de bain.
Lorsque je vais me coucher il est pas loin de
minuit mais je sais que Philippe ne vas pas dormir car j’entends encore la télé,
ma chambre étant juste à côté du salon. Mais soudain je me rends compte que le
son a subitement baissé car je n’entends plus que quelques murmures… Enfin plus
quelques cris que des murmures et ce à intervalles réguliers. C’est à ce moment
là que je me souviens qu’on est pas n’importe quel samedi mais le 1er
samedi du mois… Le jour du porno sur canal. Au bout de 30 minutes qui me
semblent être une éternité je me décide à aller voir. Je sais que grâce à la
glace du buffet placé juste devant la porte du couloir qui mène aux chambres,
je peux voir sans être vu.
Et tout de suite je sais que je ne vais pas
regretter de m’être levé. Lorsque je regarde la glace je vois que c’est bien le
porno que Philippe regarde, allongé et surtout une main caressant son
entrejambe. Je n’attend qu’une chose, qu’il ne puisse plus résister et déboutonne
sa braguette pour en sortir l’objet de mes fantasmes. L’attente me parait
longue mais en attendant je me contente des hommes présent dans le film mais je
suis déçu car moi qui préfère les hommes plutôt viril je ne vois que des hommes
bien membrés bien sûr mais aussi imberbe que des bébés… Au bout de 10 longues
minutes j’entends Philippe bouger sur le canapé et je le vois écarter ses
jambes en les pliant. Il se caresse de plus en plus fort, puis enfin il se décide
à ouvrir sa braguette. Je crois que personne n’a déboutonné 5 boutons aussi
lentement. J’espère qu’il va baisser son jean jusqu’à ses chevilles mais
malheureusement ce n’est pas le cas. Je découvre seulement qu’il porte un slip
qui laisse découvrir une bosse très impressionnante qu’il libère dans un petit gémissement
qui ne fait que renforcer mon excitation. Mais il s’arrête d’un seul coup en
fixant la porte derrière laquelle je me trouve et que j’ai entrebaillé juste
assez afin de me permettre de tout observer. Je crois que j’ai cessé de respiré
tandis que la sueur perle dans mon dos. Je ne sais pas s’il a deviné que je
regardais mais toujours est-il qu’il reprend ou il en était en prenant son
membre dressé dans une main tandis qu’il se caresse le gland avec la paume de l’autre.
Puis il change de main et je comprend qu’en fait il récupérait sa mouille pour
que sa main glisse mieux. Je suis un peu déçu car il n’enlève rien d’autre, sa
main droite ne faisant que parcourir la zone touffue du pubis ou le haut de ses
cuisses sous son jean. Seuls ses gémissements et la vitesse de va et viens de
son bassin m’avertissent de son stade d’excitation. Mais il ne gicle pas, au
contraire il s’arrête soudain pour arrêter la télévision et se lever.
Aussitôt je me précipite dans ma chambre où
je me déshabille en 4ème vitesse avant de me mettre au lit tout en
faisant attention de laisser la porte assez entrouverte pour que la lumière du
couloir éclaire le lit. Et surtout je veux être sûr, ses paroles dans la salle
de bain me trottent toujours dans la tête, aussi je fais en sorte pour que le
drap ne recouvre pas au moins une moitié de mon corps, laissant apparaître mon
corps du dos jusqu’au genou gauche. Je ne sais pas comment j’ai fait mais
toujours est-il que lorsqu’il éclaire le couloir, je suis prêt… Je ne sais pas
pourquoi mais je suis sûr qu’il va regarder par l’entrebâillement de la porte,
et qui sait peut-être aussi rentrer dans la chambre. Et ça ne loupe pas, je le
vois s’approcher, ouvrir un peu plus la porte et avant de fermer les yeux pour
faire semblant de dormir je vois que sa queue est toujours sortie, un peu moins
raide mais pas moins vigoureuse et attirante. Je l’entends s’approcher, il
respire vite et s’arrête juste à côté de mon lit… Là sa respiration accélère
encore et en entrouvrant un œil en vitesse je découvre qu’il se branle avec frénésie
en fixant mon cul. Je suis sa branlette en fixant mon attention sur les bruits
de frottements de ses mains sur son jean. Et puis soudain je sens sa main se
poser sur mes fesses, oh il n’appuie pas, il m’effleure à peine mais comme je
suis largement poilu sur cette partie du corps je sens parfaitement ses
caresses et je dois dire que tout mon corps est électrisé. Mon excitation
arrive à son paroxysme lorsque je sens une goutte de liquide me tomber dessus
au même moment où je l’entends pousser un couinement à peine audible. Sa main
repasse sur mon cul pour tenter d’essuyer la trace de son passage mais il ne
fait que l’étaler. Finalement il renonce et retourne sans un bruit dans sa
chambre.
Je crois que je suis resté une heure comme ça
à ne pas bougé, de peur qu’il m’entende et donc devine que j’étais réveillé
quand il est venu… Je sens son sperme séché sur moi, tirant sur mes poils… Je
crois que je n’ai jamais bandé aussi fort de ma vie, ma queue est encore toute
raide, plaquer contre mon bas-ventre sur lequel elle n’arrête pas de baver.
Finalement je me décide à me lever, maintenant je sais que je l’excite et ça me
suffit pour me donner le courage d’aller jusqu’à sa chambre que j’ouvre en
priant pour qu’il n’y ait aucun grincement de gonds, et maintenant je sais que
dieu existe… Lorsque je m’approche de lui je me rends compte qu’il n’est
malheureusement pas nu, il porte un t-shirt et le drap remonte jusqu’Ã
mi-torse. Sa respiration continue me confirme qu’il dort profondément et tout
doucement je monte sur le lit puis me met sur lui… Je respire un grand coup et
prenant mon courage à deux mains je me penche et commence à l’embrasser. Sa
bouche s’entrouvre et j’en profite pour y glisser ma langue tout en appuyant
plus fort ma bouche contre la sienne. Maintenant je sais qu’il est réveillé, sa
bouche est bien trop offerte pour qu’il dorme encore et sa respiration s’est
beaucoup accélérée je trouve. Il ne faut pas longtemps pour que ma théorie se vérifie
car rapidement il me rend mon baiser de même que je sens ses mains caresser mes
cuisses, puis mon cul et là je sais qu’il ne me confond pas avec Sophie ou
alors c’est qu’elle ne s’épile pas souvent les jambes…
J’arrête de l’embrasser mais il garde tout de
même la bouche ouverte et les yeux fermés tandis que je me réinstalle sur lui
et lentement j’approche ma queue de sa bouche et très rapidement lui enfourne
dans la bouche. Je sens une surprise chez lui mais il ne réagit pas…
- « J’en
peux plus…! » Dis-je en haletant. Ce sont les seuls mots que je parviens Ã
dire avant de commencer un va et vient… Je sens ses lèvres s’humidifier tandis
que mon sexe glisse de mieux en mieux. Mais je ne peux pas en profiter beaucoup
car je n’arrive plus à me retenir et je jouis en lui. Je sens qu’il veut se
retirer mais je tiens sa tête entre mes mains, je veux tout lui donner, que mon
sperme se mélange à sa salive et même qu’il l’avale. Je crois que je n’ai
jamais autant jouis, j’ai clairement senti 6 jets de foutre sortir de moi et
emplir sa bouche. Je sais qu’il ne l’a pas avalé car je sens ma queue baigner
dedans tandis que je continue mon va et vient de plus en plus lentement avant
de me retirer. C’est à ce moment là que je mets en route mon deuxième fantasme,
sans lui laisser le temps de se remettre je l’embrasse à nouveau reprenant mon
foutre dans sa bouche le mélangeant à ma salive et lui rendant encore et encore
jusqu’à ce qu’il n’en sente plus le goût et l’avale.
- « Tu
réveilles souvent les gens comme ça… Me dit-il en souriant.
- Et toi, depuis
quand tu jouis sur le cul de jeunes mecs innocents… » Je lui répond du tac
au tac en me mettant sur le côté.
Mais je n’en ai pas encore assez, je sais que
se sera peut-être la seule fois alors je tire le drap d’un grand coup sec, le découvrant
entièrement. Puis je commence à lui caresser le torse en me mettant à nouveau
accroupis sur lui. J’insiste sur le bas-ventre et la poitrine avant de passer
une puis deux mains sous le t-shirt que je lui relève jusqu’au menton. Mes
mains m’ont clairement prévu que j’allais trouver une toison telle que je l’ai
toujours rêvé. Des poils longs et bouclés, disposés du haut des épaules au bas
ventre, et au-delà . J’ai éclairé la lampe de chevet afin de profiter pleinement
de la vue qui s’offre à moi et cela suffit pour me remettre une trique d’enfer.
Je me couche sur lui pour sentir sa toison contre ma peau qui n’est que
partiellement velue au bas ventre et en haut du torse. Puis je me baisse et
avec ma langue je fouille sa forêt pour trouver ses tétons que je lèche et
mordille pour son plus grand plaisir si j’en crois sa respiration haletante.
Puis j’en viens au plus intéressant, je me retourne, lui laissant voir mon cul
et mes couilles en espérant qu’il ne va pas tarder à me tailler une pipe,
tandis que je baisse son caleçon pour libérer sa queue encore plus raide que
tout à l’heure. Une fois que je lui ai tout enlevé je reviens à ses organes et
sans attendre je lui prend sa queue dans ma bouche et elle est tellement épaisse
que je ne peux avaler à peine que la moitié de sa tige. Il a replié ses jambes,
relevant un peu son bassin et je m’applique à lui astiquer le tout bien comme
il faut tout en respirant sa délicieuse odeur de mâle… Une odeur musquée qui me
rend fou… Je décide de faire un petit effort et je ne sais pas comment je fais
pour ne pas m’étrangler mais je parviens à tout prendre dans la bouche, mon nez
butant contre ses grosses couilles pendantes et poilues. Je sens son gland
profondément dans ma bouche, dans ma gorge et j’aspire profondément en même
temps que je retire ma bouche lentement, avalant au passage toute sa mouille au
léger goût de sel. Alors je sens qu’à son tour il me suce mais surtout qu’il
passe un doigt mouillé autour de ma rosette en appuyant de plus en plus. Pour
lui faire comprendre l’invitation je me détend le plus possible tout en écartant
encore les jambes afin qu’il devine mon trou. J’ai dû être très explicite car
tout de suite je sens majeur s’enfoncer en moi profondément, de tout son long.
Puis il commence à le faire tourner en moi, je le sens qui frotte du côté de
mon ventre, contre ma prostate et l’effet est immédiat, ma queue gonfle encore
comme jamais auparavant dans sa bouche. Mais il s’arrête avant que je ne puisse
plus me retenir et commence un va et vient de plus en plus rapide sans sortir
son doigt entièrement. Et si au début ça me brûlait un peu, maintenant il me pénètre
comme il veut. Je sens qu’il à tourner sa main car maintenant son doigt tape du
côté de mon dos. Je sens qu’il va jouir pendant que je le branle en prenant ses
couilles dans ma bouche. Aussi je m’arrête et bouge de manière à ce que son
doigt sorte de moi. Je sais ce que je veux maintenant…
- « Je
veux que tu me prennes… » Lui dis-je. Et il n’a pas l’air surpris car il
ne fait que sourire en se déplaçant sur le lit, me laissant m’allonger sur le
dos. Puis il me lève les deux jambes qu’il place sur ses épaules. Enfin il
cesse de me fixer avec son air lubrique et regarde sa queue qu’il prend d’une
main afin de la placer face à mon trou. Puis il appuie de plus en plus sur ma
rosette qui ne lui offre guère de résistance. Je sens toute les étapes, son
gland qui rentre peu à peu en m’écartant de plus en plus, puis ce qui suit est
moins gros donc j’en déduis qu’il en est arrivé au bout et que maintenant il s’agit
de sa tige, bien que très épaisse l’est tout de même moins que son gland. Il
continue de s’enfoncer, j’ai l’impression que ça n’en finira jamais mais je m’en
fou, je ne peux détacher mon regard du sien. Il n’arrête pas de me fixer,
voulant détecter tout ce que je ressens que se soit douleur ou plaisir. Une
fois que je sens au moins la moitié de sa raideur en moi, et que donc s’il
bouge il ne risque pas de sortir je prend son visage et l’attire vers moi… Il a
l’air de résister, peut-être qu’il a peur de trop me demander en souplesse en
se penchant sur moi, mais je ’an pas de problème de ce côté-là , mes plusieurs
expériences d’auto-fellation m’ont aidé. J’insiste et alors il se penche
totalement de sorte que je sens ma queue et mes couilles s’appuyer sur son
ventre. Ses poils se mélangent à mes poils pubiens et appuyer comme il est je
sens l’odeur de sa transpiration près de moi, ma tête étant tout proche de son
dessous de bras.
e suis
comme fou…
- « Je
veux que tu me prennes violemment… Je veux que tu me prennes aussi fort que tu
le peux… je veux sentir chaque coup de boutoir contre mon ventre… »
Et il ne
lui en faut pas plus… Dans un rugissement il commence alors à aller et venir très
fortement, me faisant crier de douleur… Je lui demande même de s’arrêter mais
comment arrêter un mâle en rut lorsqu’il est lancé. Mais de toute façon je ne
le subis pas très longtemps car la douleur s’efface pour ne laisser que le
plaisir de sentir son burin en moi. Il finit par se redresser afin de pouvoir
me pénétrer encore plus en profondeur et avec plus de force offrant à mon
visage brûlant, grimaçant et dégoulinant de sueur, la vision de torse d’homme
viril… Il prend ma queue fermement dans sa main gauche et coordonne les
mouvement de sa branlette à ses va et vient. A chaque fois qu’il me pénètre Ã
fond sa main descend ma hampe, tirant ma peau totalement et dévoilant mon gland
gonflé et humide. Puis lorsque se retire partiellement sa main remonte pour que
mon prépuce retrouve sa place, et il en profite pour exercer une pression sur
mon gland qui à chaque fois me fait croire que je vais jouir. Pour la première
fois il se retire totalement, il avance sa queue vers la mienne et tirant la
mienne en arrière jusque’ à me faire mal il frotte son gland contre le mien et
ce afin de récupérer et d’étaler toute ma mouille. Puis quand il en est
totalement recouvert il me pénètre à nouveau violemment, d’un seul coup avec Ã
nouveau un rugissement bestial. Puis il accélère de plus en plus tout en me
branlant encore et encore. Je me demande comment il fait pour soutenir le
rythme quand je cède, à bout. Mon foutre m’inonde le ventre… Il se penche sur
moi et se frotte contre moi tout en bougeant à l’intérieur de moi. Il est Ã
moitié sorti lorsque il me fouille littéralement la bouche avant de revenir
totalement… Il pousse un cri étouffé par ma bouche en même temps que je sens sa
jouissance se répandre en moi. Puis une fois qu’il s’est soulagé il se tient
immobile, tout en continuant de m’embrasser… Je sens son pénis qui reprend peu Ã
peu sa taille normale mais déjà imposante au repos. Au bout de cinq minutes je
le sens bouger et je pense qu’il va se retire de moi quand en fait il
recommence à aller et venir lentement tandis que sa queue reprend du volume.
- « Maintenant…
Me dit il à l’oreille. Je vais te faire l’amour… Et ça va être à ton tour de me
faire découvrir les joies de la pénétration. »
On n’a pas arrêté de recommencer plusieurs fois de suite, alternant violence
et tendresse… Mais à chaque fois nous nous sentons plus libre, laissant libre
cours à nos pulsions animales, à nos cris et ce quitte à déranger les voisins,
sur le lit, la moquette, dans la douche…
Nous ne nous sommes arrêtés que lorsque le réveil
a sonné 10 heures 30... Chacun est allé prendre sa douche sagement et lorsque
Sophie est rentré nous avons fait comme si de rien n’était.
La nuit suivante, je l’ai clairement entendu
lui faire l’amour mais je sais qu’il l’a fait en pensant à moi et sans
retrouver le même niveau de plaisir. Il me l’a dit tout à l’heure quand il est
arrivé à mon appartement en me disant qu’il avait quitté Sophie et après que
nous ayons baisés, puis fait l’amour.
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