Ce samedi après-midi, je me sentais bien seul dans ma chambrée avec quelques polars pour seule distraction.
J'ai décidé de prendre l'air et de faire un petit tour dans le camp pratiquement désert. J'ai vu au loin une silhouette.
C'était Stéphane, un chauffeur d'un autre peloton que le mien.
Stéphane était un très beau mec, de taille moyenne, mince, blond aux yeux bleus. Alors que je ne le connaissais pas particulièrement, (il n'était pas de ma classe), il s'arrêtait toujours pour discuter avec moi. Il était sympathique, aimable, intéressant, bref ce mec me plaisait beaucoup. Mais il était sans doute hétéro, simplement aimable avec moi par esprit de communication. Stéphane m'a fait signe au loin. Je me suis approché de l'atelier où il se trouvait.
- "tu es de permanence ?" m'a-t-il dit.
- "oui, toi aussi, je suppose ?".
- "eh oui ! pour rien comme d'habitude".
Puis nous avons continuer à deviser gentiment. Stéphane a ensuite été dérangé par un sous-officier qui lui demandait un service personnel, un entretien sur son véhicule. Je les ai donc laissés et suis retourné à mes occupations.

                    Le soir venu, j'ai été prendre une douche. Je me suis habillé d'un tee-shirt et d'un short de sport (nous étions en été) et je suis parti vers ma chambrée. A peine sorti des douches, j'ai croisé Stéphane qui, une serviette sous le bras s'y rendait. Raté, pensais-je, celui là, je ne le verrai jamais à poil.
- "ah !, tu as fini de prendre ta douche" me dit Stéphane et il a ajouté "dommage, j'aurais bien voulu voir ton petit cul !".
J'étais sidéré, ému et flatté, mais j'ai eu le réflexe de lui répondre :
- "mon petit cul est visible en dehors des douches".
- "ok", m'a-t-il dit avec un clin d'œil, je viens te voir dans ta chambrée après ma douche".

                    Je disposais en qualité de brigadier-chef d'une chambrée de deux lits, mais j'y résidais seul. Sur le moment, je paniquais un peu. Comment avais-je pu lui répondre ainsi ? C'est vrai, j'ai un beau cul me disais-je, bien cambré et depuis ces quelques mois d'armée, ce n'était pas la première fois que j'entendais une réflexion sur mon cul. J'étais d'ailleurs plutôt mignon, brun mais imberbe de corps, de grands yeux noirs et un air innocent. Mais j'avais vraiment envie de baiser et le grand moment était sans doute arrivé.
                    Fébrile, j'ai rangé mes affaires de toilette et quelques minutes après Stéphane entrait dans ma chambrée. J'ai fermé la porte à clef derrière lui par précaution. J'étais un peu gêné et regrettais presque mon audace. Mais Stéphane me regardait avec son beau sourire et s'approcha de moi :
- "panique pas" m'a-t-il dit.
Il me fit un rapide bisou au coin des lèvres et a reculé.
- "vas-y, montre ton cul" m'a-t-il demandé.
- "et toi qu'est-ce que tu me montres ?".
- "le complément d'objet direct, mais après" m'a-t-il répondu.
Fixé sur ce qui m'attendait, je me suis retourné pour baisser mon short et lui montrer juste mes fesses. Mais il m'a précisé :
- "non, retire tout, fais moi un strip-tease".
Je me suis exécuté maladroitement. Ce fut vite fait car je n'avais qu'un tee-shirt, un short et un mini slip au-dessous.
J'ai fait quand même un peu ma "salope" pour retirer le slip, regardant Stéphane dans les yeux et passant ma langue sur mes lèvres. Je me suis étonné de ma hardiesse, car je n'avais aucune expérience sexuelle. Comme dans les films, j'ai jeté mon slip à la figure de Stéphane.
- "je te garde en souvenir" m'a-t-il dit et il a ajouté en me regardant attentivement de la tête aux pieds :
- "tu es très mignon, tu as vraiment un beau cul, on doit être bien dedans"
Et avec un grand sourire il m'a poussé sur le lit. Je me suis allongé sur le lit et sur le ventre tout en le regardant et lui ai demandé :
- "alors ce "complément" tu me le montres ?".
J'ai cru que Stéphane allait simplement baisser son short et me montrer sa bite et peut-être me la donner à sucer.
Mais, non, il a retiré ses tennis, son tee-shirt et a fait descendre son short et son slip sur ses chevilles et s'en est débarrassé.
Lorsqu'il a baissé son slip, sa bite s'est mise immédiatement à l'horizontal. Quel beau morceau, non circoncis ! juste comme je les aimais ...

                    Stéphane est venu me rejoindre sur le lit. Il s'est assis à côté de moi et m'a caressé doucement les fesses et s'est penché sur moi.
Il m'a embrassé sur la bouche et m'a roulé un patin auquel j'ai répondu avec fougue.
- "tu sens bon" m'a-t-il dit, "un vrai petit bonbon".
Je me suis tourné vers lui. Il s'est couché sur moi, son ventre contre le mien. Je sentais aussi sa douce odeur de jeune garçon.
Nos deux bites raides et relevées frottaient l'une contre l'autre pendant que nos langues s'unissaient.
Ses mains me caressaient les fesses et il a hasardé un doigt dans ma raie.
J'ai gémi de plaisir et sentant mon acquiescement, il m'a retourné sur le ventre, a écarté mes jambes et mes fesses et m'a mis délicatement un doigt dans le trou. Puis il s'est penché sur moi et a commencé à me lécher en partant du haut du dos et en suivant ma colonne vertébrale. Sa bouche a atteint ma rosette et il m'a léché encore. Sa langue pénétrait dans mon trou et m'excitait, je gémissais plus fort.

Mais il s'est arrêté, m'a positionné sur le côté et s'est allongé tête-bêche, présentant son engin à ma bouche. J'ai pris sa bite dans les mains et l'ai mis dans ma bouche.
Avec mes lèvres, je l'ai décalottée, je faisais tourner ma langue au tour de son gland. Puis je le pompais avidement. Je l'ai entendu alors gémir doucement.
Stéphane avait lui aussi pris ma bite en bouche et me suçait.
J'ai dû plusieurs fois me retirer, j'allais jouir trop vite et je voulais encore attendre.

Stéphane s'est dégagé de moi et reprenant ses esprits m'a demandé de me mettre à quatre pattes, d'écarter les jambes et de cambrer mon beau petit cul.
- "je vais te prendre David" m'a-t-il dit, "te baiser".
J'avais encore un peu la trouille, ne m'étant jamais fait enculer. Mais j'en avais trop envie, surtout par ce beau et gentil Stéphane et je me suis exécuté.
- "va doucement s'il te plaît, je suis puceau" lui ai-je déclaré.
- "je me doute, ne t'inquiètes pas, si je te fais mal, tu le dis et j'arrête".
Stéphane m'a préparé encore de sa langue, puis il a introduit un doigt, puis deux dans mon petit trou. Il m'a craché un grand coup dans la raie des fesses, poussant sa bave dans mon cul avec un doigt.
Stéphane était un peu plus grand que moi et se trouvait, si je puis dire, en bonne position.
J'ai senti son gland chaud et baveux sur ma rosette.
D'un petit coup sec des reins, il a introduit son gland. Cela ne m'a pas fait mal et je l'ai encouragé à continuer.
Il m'a agrippé par les épaules et a poussé vivement mais sans brutalité.
J'ai sentis son bâton de chair faire sa place dans mon ventre. Je ne ressentais aucune douleur, mais j'avais l'impression d'être coupé en deux.
- "eh oui, on est bien dedans" a déclaré Stéphane.
Stéphane a entrepris de me limer.
Maintenant cela m'excitait beaucoup à l'idée surtout qu'il allait me jouir dans le ventre.
J'ai ressenti un plaisir inexplicable et j'ai participé à son plaisir en lui disant :
- "baise-moi, Stéphane, encule-moi, remplis-moi le ventre"
- "t'inquiète, je vais te remplir à raz bord".
Stéphane haletait de plaisir de plus en plus fort. J'ai serré mon trou du cul sur sa queue comme pour en tirer le jus.
Il a donné une série de coups plus violents, ses grosses couilles sont venues frapper les miennes.
Puis il s'est bloqué au maximum de mon cul, a émis un petit cri et je l'ai senti se vider dans mon trou.
Ses jets de sperme chaud me remplissaient le ventre. J'étais un enculé et j'aimais ça !

Il est resté en moi quelques instants me disant des mots d'amour entrecoupés de bisous.

Puis il s'est retiré vivement, m'a retourné et a englouti ma bite toujours raide dans sa bouche.
Il m'a pompé vivement, non il m'a aspiré. Je n'ai pu me retenir plus longtemps et je lui ai crié "je vais jouir".
Il a continué de pomper et je me suis vidé dans sa bouche.
Il a tout avalé et a continué à me lécher quelques instants.

Stéphane s'est allongé à côté de moi et m'a dit :
- "voilà on est presque quitte", et il a ajouté "je te prêterai aussi mon cul si tu veux, excuse-moi d'avoir été si direct et si brutal, mais j'avais trop envie de toi depuis longtemps".
Je lui ai répondu :
- "l'envie était partagée, je n'aurais jamais osé faire la "salope" comme ça sinon".
Stéphane est resté avec moi toute la nuit et au matin, il m'a dit :
- "on va pas s'ennuyer maintenant, je vais te sauter tous les jours et réaliser tous tes fantasmes"

                    Et il a tenu parole, mais ceci est encore une autre histoire.